Archives de : Paulo-Serge lopes

  1. Prise de position d’EELV Flandre Maritime sur le devenir de la ligne ferroviaire Dunkerque / Adinkerque/La Panne

    Communiqué de presse d’Europe Ecologie Les Verts Flandre Maritime

    23 Janvier 2014

     

    La décision d’Infrabel – la société gestionnaire de l’infrastructure ferroviaire en Belgique – de procéder au démantelement des voies ferrées entre la frontière et la gare d’Adinkerque-La Panne à compter de ce week-end des 25 et 26 Janvier – est un non-sens pour l’aménagement du territoire.

     

    Si ce démantélement se concrétisait et changeait l’affectation des terrains concernés, elle constituerait un sérieux frein au développement de la mobilité de part et d’autre de la frontière, de surcroît via un mode de transport plus écologique et économe en espace que le bitume de l’A16/E40.

     

    Cette décision va ainsi complétement à l’encontre des efforts développés depuis plusieurs années par les collectivités locales dans le cadre notamment du groupe européen de coopération transfrontalière

     

    Cette action d’Infrabel contreviendrait ainsi aux engagements pris récemment – tant par le conseil régional Nord-Pas de Calais que par la communauté urbaine e Dunkerque – d’envisager la réouverture de la ligne ferroviaire Dunkerque-Adinkerque/La Panne.

     

    Le conseil régional Nord-Pas de Calais l’a validé dans son schéma des transports et des mobilités adopté le 26 septembre tandis que la communauté urbaine de Dunkerque l’a inscrit comme priorité dans sa délibération sur la mobilité entériné le 17 octobre.

     

    A l’automne prochain, la ligne Calais-Dunkerque – rénovée avec le concours pour l’essentiel des collectivités locales – va être réouverte à la circulation permettant d’améliorer le transport sur la côte d’Opale des voyageurs et l’accessibilité des trois ports.

     

    Le chaînon manquant à cette remise à niveau des transports sur notre littoral est désormais la ligne Dunkerque-Adinkerque/La Panne. Construire l’Europe au quotidien, c’est tisser des liens et non les défaire.

     

    ——

     

    Paulo-Serge Lopes

     

    Conseiller régional Nord-Pas de Calais

     

    Porte parole d’Europe Ecologie Les Verts Flandre Maritime

     

    Post-scriptum :  la Voix du nord a consacré dans son édition du 29 Janvier un article à ce sujet sous le titre « Quel avenir pour la ligne ferroviaire Dunkerque-Adinkerke ?« 

  2. Prise de position d’EELV Flandre Maritime suite à la manifestation de la FDSEA à Dunkerque

    Prise de position d’EELV Flandre Maritime suite à la manifestation de la FDSEA à Dunkerque

     

    Le schéma régional de cohérence écologique (SRCE) – document prévu par la loi Grenelle de l’Environnement du 12 juillet 2010 – mérite bien mieux que les contrevérités distillées au cours de la manifestation de la FDSEA ce jeudi.

     

    Dans le Nord-Pas de Calais et plus encore en Flandre Maritime nous savons, depuis longtemps, que préserver l’environnement constitue tout à la fois une nécessité du présent et un combat d’avenir au service de ses habitants.

     

    Protéger la nature pour qu’elle puisse continuer à défendre le polder – corridors écologiques, zones humides,… – et nous nourrir tel est le sens de la stratégie régionale pour la biodiversité que nous portons via ce schéma.

     

    Faire table rase de la biodiversité comme le souhaitent les representants de la FDSEA c’est faire au contraire le lit des inondations et la ruine à terme des cultures agricoles dans notre territoire menacé par les déréglements climatiques.

     

    Ils font mine de découvrir le schéma alors même que le monde agricole dans sa diversité a été partie prenante au processus d’élaboration sous l’égide du conseil régional et des services de l’Etat depuis son entame en début 2012.

     

    La manifestation de ce jeudi était en droite ligne de la volonté de leur direction nationale de faire présenter beaucoup de ses membres lors des élections municipales des 23 et 30 mars prochain pour imposer sa vision passéiste du monde rural.

     

    LA FDSEA s’implique dans la campagne des prochaines échéances électorales en se faisant le marche pied des élus UMP et UDI au point même que l’affrètement des tracteurs, la distribution des tracts,… devraient intégrés dans les comptes de campagne des candidats soutenus par Jean-Pierre Decool et André Figoureux.

     

    Au printemps 2013, ces derniers, à l’instar des élus des 41 communes de la nouvelle intercommunalité des Hauts de Flandre, n’ont pas daigné répondre à la consultation officielle sur la première mouture du SRCE à laquelle ils furent pourtant conviés.

     

    D’autres structures – comme la communauté urbaine de Dunkerque, le Pays Cœur de Flandre et la province de Flandre occidentale… – ont au contraire apporté à cette occasion leur contribution à l’établissement de ce schéma dont les orientations vont influer sur l’aménagement du territoire.

     

    Après avoir été aux abonnés absents pendant deux années, les élus principalement UMP et UDI – avec le soutien de la FDSEA – se réveillent donc le dernier jour de l’enquête publique et ce à quelques semaines des élections municipales où ils entendent faire renouveler leurs mandats…

     

    Le devenir de la Flandre maritime mérite mieux que des manipulations et des politiques de courte vue.

     

    Paulo-Serge Lopes

     

    Conseiller régional Nord-Pas de Calais

     

    Porte parole d’Europe Ecologie Les Verts Flandre Maritime

    Publié dans Communiqués du groupe local | Commentaires fermés sur Prise de position d’EELV Flandre Maritime suite à la manifestation de la FDSEA à Dunkerque
  3. « Terminal méthanier, terminus effet de serre, terminus Pôle Emploi »


    Communiqué de presse d’Europe Ecologie Les Verts Flandre Maritime du 14 décembre 2013

    « Terminal méthanier, terminus effet de serre, terminus Pôle Emploi »

     

    Les discussions sur l’attribution des marchés du chantier du terminal méthanier font passer par pertes et profits la réflexion sur le modèle de développement pour l’agglomération dunkerquoise ; territoire qui ne profite pas, et de très loin, à plein des emplois de ce qui va devenir le quinzième site Seveso du littoral.

     

    Les retombées ne sont pas à la hauteur des enjeux dans un bassin d’emploi où prés de 14% de la population active est au chômage ; ce constat rejoint nos interrogations soulevées lors des réunions en 2007 dans le cadre de la commission particulière du débat public portant sur l’opportunité d’un tel projet.

     

    Le terminal méthanier s’avère toujours autant néfaste car il est incohérent d’investir massivement dans une énergie fossile et donc polluante et sans avenir car épuisable. L’énergie la moins chère est celle qu’on ne consomme pas.

     

    Sa construction constitue un contresens à l’heure où des investissements alternatifs dans l’isolation des bâtiments permettraient de réduire significativement la facture énergétique des habitants et consolideraient le tissu économique des PME.

     

    Il est aussi en pleine contradiction avec la démarche de la région Nord-Pas de Calais qui s’est engagée dernièrement sous l’impulsion des élus écologistes, avec le Master Plan Rifkin, dans la troisième révolution industrielle et la transition énergétique.

     

    A la recherche de boucs émissaires par les VRP de la haine et à la politique de l’autruche de décideurs locaux, Europe Ecologie Les Verts Flandre Maritime préfère donc contribuer à la construction d’un avenir soutenable du territoire.

     

    Paulo-Serge Lopes

     

    Porte parole d’Europe Ecologie Les Verts Flandre Maritime

     

     

    Conseiller régional Nord-Pas de Calais

  4. La tempête de la St Nicolas et le Pére Noel de la transparence nucléaire

    Communiqué de presse d’Europe Ecologie Les  Verts Flandre Maritime du 7 décembre 2013

     

                                            La tempête de la St Nicolas et le Pére Noel de la transparence nucléaire

     

    Les conséquences de la tempête intervenue dans la nuit de jeudi à vendredi doivent faire réflechir aux dangers inhérents de la présence sur le littoral dunkerquois de sites à risques comme celui de la centrale nucléaire de Gravelines.

     

    Cette demande s’avére d’autant plus nécessaire que les conditions n’étaient pas en soi exceptionnelles – vent de 90 km/h et le niveau bas des canaux – minorant heureusement les conséquences de la tempête dans notre agglomération.

     

    A la suite de Fukushima, une évaluation partielle (les « Evaluations complémentaires de sureté»), portant notamment sur les risques d’inondation, a été effectuée sur le parc français et des prescriptions de travaux complémentaires ont été édictées.

     

    L’Autorité de sureté nucléaire précisait en juin 2012 que « les mesures prises vont conduire à un renforcement significatif des marges de sûreté » et que « ces décisions imposent aux exploitants des travaux considérables ».[1]

     

    Cette instance a émis 28 préconisations sur le cas de la centrale nucléaire de Gravelines dont celles portant sur les inondations de facto tant celles induites par les submersions marines que celles venant de l’intérieur des terres.[2]

     

    Comme l’ont attesté les discussions en commission locale d’information du site atomique, les services de l’Etat saucissonnent le dossier suivant les instances devant lesquelles ils passent (CLI, CLE du SAGE de l’Aa,…) comme si des lignes Maginot imaginaires protégeaient les six réacteurs.

     

    A ce titre, nous souhaitons donc qu’un véritable débat quant à la vulnérabilité du site nucléaire associe pleinement les habitants du territoire en les éclairant, sans désinformation, sur les différents scénarios possibles et toutes leurs conséquences à long terme.

     

    Paulo-Serge Lopes

     

    Porte parole d’Europe Ecologie Les Verts Flandre Maritime
     
    Conseiller régional Nord-Pas de Calais
     
    Membre de la commission locale d’information de la centrale nucléaire de Gravelines

     


     

  5. Arena : le compte n’y est décidément pas…

    Arena : le compte n’y est décidément pas…

     

    La position des élus écologistes contre le projet de salle Arena a permis que la commission permanente du conseil régional, réunie en séance ce lundi 7 octobre, refuse l’octroi de 10 millions d’euros au projet d’Arena Dunkerque.

     

    Cette décision – qui modifie substantiellement l’équilibre financier sur lequel est basé le dit projet – se rajoute aux décisions et avis d’instances (Commission nationale d’équipement commercial, autorité environnementale, enquête publique,…) établies ces derniers mois mettant en cause ses caractéristiques.

     

    A ce titre, il nous apparaît toujours autant nécessaire que la communauté urbaine de Dunkerque remette totalement à plat la démarche sur l’ensemble de ses aspects (pertinence, jauge, financiers, environnementaux,…).

     

    La responsabilité de cette collectivité locale est de répondre aux interrogations croissantes que suscite un tel projet, vestige d’un mode révolu d’aménagement du territoire, et non de s’engager dans une impasse pour le territoire.

     

    Paulo-Serge Lopes 

     

    Porte parole d’EELV Flandre Maritime

  6. Rapport et recommandations de l’enquête publique sur le projet de salle Arena

    Rapport et recommandations de l’enquête publique sur le projet de salle Arena
     

    Les responsables de l’enquête publique sur la salle Arena rejoignent la position exprimée par Europe Ecologie Les Verts en soulignant « les difficultés d’allier maintien d’investissement de prestige onéreux aux résultats hypothétiques dans une conjoncture économique défavorable »

    Sont ainsi notées les préoccupations des citoyens – portées notamment par les écologistes et la pétition citoyenne – surle surdimensionnement de l’installation, la lourdeur des financements annoncés, la proximité des sites Seveso,…

    Les commissaires enquêteurs recommandent notamment à la communauté urbaine de Dunkerque de saisir la commission nationale du débat public recoupant notre propre demande de commission de dialogue entre les promoteurs et les adversaires du projet.

    Par souci de cohérence, il nous importe dans ce cadre que les débats de cette instance impartiale aient lieu sans raccourci et traitent l’ensemble des implications des deux démarches – tant la zone commerciale et la salle Arena – et ne soient pas réduits au seul suivi du budget de cette dernière.

    Nous pensons tout particulièrement aux analyses issues de l’autorité environnementale ainsi que des décisions ressortant des commissions en charge de l’équipement commercial dont de tels débats ne peuvent faire l’économie.

    A quelques mois des élections municipales où la défiance envers les politiques pourrait s’opérer à plein, il importe que les élus communautaires remettent à plat les deux dossiers : la démocratie dans l’agglomération dunkerquoise en serait alors la gagnante

     

    Paulo-Serge Lopes 

     

    Porte parole d’EELV Flandre Maritime

  7. Déplacement de François Hollande à Dunkerque : une occasion manquée

    « Déplacement de François Hollande à Dunkerque : Une occasion manquée. »

     

    La venue du président de la république à Dunkerque ce mardi 22 Juillet apparaît au final comme une occasion manquée.

     

    Alors même que le débat national sur la transition énergétique a rendu ses conclusions le 18 juillet, le déplacement de François Hollande a fait l’impasse sur le gisement des emplois de la transition énergétique et ce dans un bassin d’emploi où le taux de chômage est de plus de 13%

     

    Démantèlement des réacteurs nucléaires

     

    Le n°41 des soixante engagements du candidat Hollande durant la campagne du printemps 2012 était de faire passer de 75 à 50 % la part du nucléaire dans la production électrique française d’ici 2025 ce qui implique la fermeture des réacteurs les plus vieux.

     

    Il aurait été conséquent que désormais élu François Hollande soutienne le conseil régional nord-Pas de calais dans sa volonté de créer une filière industrielle de démantèlement des réacteurs nucléaires, démarche qui prend tout son sens au regard des six unités de production vieillissantes de la centrale de Gravelines.

     

    Ferme éolien off-shore :

     

    De même il aurait été logique de voir lancé par le président de la république le 3e appel d’offres national sur l’éolien off-shore et que soit soutenu par conséquent la candidature du secteur dunkerquois à accueillir cette énergie durable.

     

    Le territoire dunkerquois dispose au travers de nombreuses entreprises portuaires et métallurgiques qui pourraient les sites d’assemblage dans le cadre de la sous-traitance ou dans la production de pièces spécifiques.

     

    Politique énergétique :

     

    La dernière venue en date d’un président de la république – en l’occurrence Nicolas Sarkozy le 3 mai 2011 –  était consacrée à promouvoir les énergies fossiles et fissiles au travers du terminal méthanier et de la centrale nucléaire.

     

    A l’opposé de cette venue, il nous aurait apparu indispensable que le nouveau chef de l’Etat prenne résolument sur le territoire dunkerquois un nouveau cap durable pour la politique énergétique. Il n’en a rien été.

     

    Mais au final le véritable changement pour la transition énergétique c’est pour quand ?

     

    Paulo-Serge Lopes

    Porte parole d’Europe Ecologie Les Verts Flandre Maritime

  8. Le « Made in dunkerque » a de l’avenir dans le démantèlement du nucléaire

    L’avenir du « Made in dunkerque » du nucléaire : son démantèlement

    La croyance en la sécurité du nucléaire s’est fissurée de longue date comme l’a montré la recrudescence d’incidents dans les six réacteurs vieillissants de la centrale de Gravelines au cours de l’année 2012.

    Le défi pour l’agglomération dunkerquoise – et plus largement la région Nord-Pas de Calais – est de préparer un arrêt progressif du fonctionnement des six réacteurs de l’une des installations atomiques les plus puissantes et dangereuses au monde.

    Sur l’initiative des élus d’Europe Ecologie Les Verts, le conseil régional a adopté le 14 avril 2011, l’engagement d’œuvrer à une « transition énergétique qui doit nous conduire vers un monde dans lequel la satisfaction de nos besoins ne dépende plus du nucléaire et des énergies fossiles ».

    L’institution régionale a poursuivi l’idée via la réflexion dans le cadre des opérations de développement de la transformation écologique et sociale autour de la création d’une filière de démantélement des réacteurs nucléaires.

    A ce titre, il fera partie de sa contribution – via le volet climat du Schéma régional d’Aménagement et de développement durable du territoire (SRADDT) à l’occasion du débat national sur la transition énergétique.

    Il s’agit d’une démarche où les salariés intervenant sur le site de la centrale de Gravelines auront toute leur place de par l’expérience acquise dans le fonctionnement quotidien du site depuis plus d’une trentaine d’années.

    Le territoire dunkerquois serait alors bien positionné par le savoir faire acquis sur le gisement d’emplois potentiellement générés : plus d’un tiers des réacteurs en activité dans l’Union Européenne devraient être déconstruits à l’horizon 2025.

    Adossée à la montée en puissance des énergies renouvelables comme l’éolien off-shore, une telle filière donnerait une réelle et soutenable impulsion de l’agglomération dans sa transition économique.

    Le « Made in Dunkerque » a de l’avenir dans le démantélement du nucléaire, pas dans sa perpétuation.

    Paulo-Serge Lopes

    Porte parole d’Europe Ecologie Les Verts Flandre Maritime

  9. De Notre Dame des Landes à Notre Dame des Flandres…

    De Notre Dame des Landes à Notre Dame des Flandres…

    Les interrogations exprimées par les membres de la CNAC – menant au refus de l’aménagement commercial au Noort Graacht à Petite-Synthe – recoupent pour une large part celles tenues depuis 2009 par les élus communautaires d’Europe Ecologie Les Verts.

    Partant du constat qu’un rejet modifie les fondements du projet de la salle Arena auquel elle servait d’appui brinquebalant, il importe désormais de remettre à plat l’ensemble de la démarche et non de s’enferrer dans une impasse irresponsable.

    La responsabilité des collectivités locales parties prenantes est au contraire de répondre aux interrogations croissantes – exprimées notamment par la pétition citoyenne – quant à la pertinence même de ce projet, vestige d’un modèle de développement révolu.

    La démocratie dans l’agglomération dunkerquoise y gagnerait à l’heure ou la défiance envers les politiques – mêmes locaux – est très forte et ce à quelques mois des élections municipales où la tentation du populisme n’en est que plus forte.

    Il serait à notre sens pertinent de prendre en considération l’expérience du projet décrié d’aéroport à Notre Dame des Landes dont l’opposition des populations concernées a abouti à la mise en place d’une commission de dialogue entre les promoteurs et les adversaires.

    La lourdeur des financements annoncés, les impacts environnementaux projetés, la proximité du site Seveso de Minakem, le surdimensionnement avéré de l’installation… tout cela concourt à ce qu’Europe Ecologie Les Verts Flandre Maritime demande donc la tenue d’un véritable débat au niveau de l’agglomération.

    Louardi Boughedada : secrétaire d’EELV Flandre Maritime

    Paulo-Serge Lopes : porte parole d’EELV Flandre Maritime

  10. Agression de Damien Carême : réaction d’Europe Ecologie Les Verts Flandre Maritime

    Agression de Damien Carême : réaction d’Europe Ecologie Les Verts Flandre Maritime

     

    Nous souhaitons un prompt rétablissement à Damien Carême, suite à l’agression dont il a été victime ce mercredi soir, et espérons le voir bientôt de nouveau dans les combats communs menés au niveau de l’agglomération dunkerquoise et du conseil régional Nord-Pas de Calais.

     

    Paulo-Serge Lopes

     

    Porte parole d’Europe Ecologie Les Verts Flandre Maritime

    Conseiller régional Nord-Pas de Calais

Remonter

flandremaritime.eelv.fr/?utm_source=google&utm_medium=site&utm_campaign=Flandre%20Maritime